Interview Yannick Claude-Flainville – Traffic Manager

Traffic Manager

Une base le site internet ; à savoir le référencement naturel, connaître les différentes techniques pour améliorer la visibilité d’un site sur les moteurs de recherche en optimisant au mieux son référencement par exemple. 

Ensuite, il y a la partie publicitaire sur les moteurs de recherche, display, sites partenaires, ainsi que la capacité à retargeter (techniques d’acquisition et de rétention). La partie shopping est également un indispensable du Traffic Manager pour avoir la capacité de faire croître les visites d’un site e-commerce ainsi que ses ventes. Enfin, il y a une casquette social media indispensable puisque les réseaux sociaux peuvent s’avérer être une réelle source de trafic sur un site.

Cela fait peut-être trop de couvres-chefs mais j’aurais aimé ajouter la casquette chef de projet digital, puisqu’il faut bien être en mesure de s’organiser pour être efficace lorsqu’il y a l’ensemble des ces leviers de mobilisés.

👉 Comment trouves-tu l’inspiration ? 

Yannick : Pour ma veille, quand j’étais en entreprise j’avais un mentor qui m’a beaucoup formé et donné tout plein de conseils. Il était ma source d’inspiration, puis j’ai continué à suivre des blogs, écouter des podcasts. Dès qu’il y a des besoins un peu plus techniques sur un projet, je vais soit regarder des blogs soit des vidéos sur Youtube. J’utilise aussi l’outil Feedly pour avoir une vision concise des différents éléments que je trouve. 

La plupart du temps, surtout les moments avec un peu moins de temps à passer sur la veille, j’écoute les podcasts qui me permettent de rester informé sans devoir y passer des heures consacrées.

C’est vraiment indispensable de se former en continu, et ces contenus éduquent énormément.

👉   Quelle est ton expérience et ton ancienneté en tant que freelance ?

Yannick : J’ai commencé mon activité de freelance dans le digital fin 2020. J’ai commencé en m’inscrivant sur Malt, ce qui ne m’a pas trop aidé au début car je n’étais pas sûr de mon positionnement et de ma valeur ajoutée (syndrome de l’imposteur). Puis j’ai eu un contact avec une agence qui souhaitait sous-traiter sur une mission pour les réseaux sociaux. Certains clients m’ont poussé à me lancer totalement en tant qu’indépendant. Je me suis donc lancé à plein temps depuis mi-avril 2021.

Puis je suis tombé sur le collectif parisien de La Collab suite à des recherches.

👉  Quelles ont été tes études pour en arriver ici ?

Yannick : En 2010 j’ai arrêté mes études de communication pour me lancer dans la vie active. Pendant 5 ans, je travaillais dans différents métiers.

Puis j’ai eu l’occasion de reprendre mes études en travaillant dans une agence web dans la même école ou j’étais avant, et j’ai donc réalisé deux années supplémentaires spécialisées dans le numérique. L’avantage que je garde de mes études c’est que je les ai toujours réalisées en alternance et c’est une réelle plus value ajoutée pour la montée en compétence technique.

👉  Comment intègre-tu les enjeux RSE dans ton activité au quotidien ?

Yannick : Je suis en train de prendre le virage, mais comme tou.te.s, il y a du chemin à faire. Actuellement, j’ai l’opportunité de travailler avec une ONG ce qui est plaisant puisqu’il y a une mutualisation de valeurs et j’apprends beaucoup de ces derniers, j’ai ce sentiment d’agir pour une bonne cause. Après dans la vie courante, c’est vrai que j’ai aussi une conscience écologique.

👉 Comment as-tu rencontré La Collab ? 

Yannick : La rencontre s’est faite au cours d’un Meet La Collab, Join Le Lab en 2021, mais je suis tombé sur le collectif à la suite de recherches sur internet et probablement sur LinkedIn aussi.

👉 Peux-tu nous dire comment s’est déroulée ta dernière mission avec La Collab ? 

Yannick : Je suis en cours de première mission pour le client Didaxis, société de portage salarial qui a du sens avec ce que l’ont fait, cela nous touche directement. Et concrètement cela se passe très bien, on est encore au début de la mission mais il n’y a pas de raison pour que cela ne continue pas dans cette lancée !

Je suis aux côtés de Mathilde à la rédaction de contenu et gestion des réseaux sociaux, Harmony dans la gestion de projet et enfin moi-même au SEO/SEA.

👉 Est-ce que tu recommanderais le freelancing ?

Yannick : Oui ! Justement quand j’étais en agence, j’étais avec un groupe de personnes qui étaient toutes les 3 associées, ce qui pouvait être plus contraignant par moments que s’ils étaient en freelance.

Je trouve cela moins contraignant d’être indépendant, même s’il y a parfois des aspects négatifs en fonction de ce que l’on fait, avec La Collab on oublie un peu ces aspects grâce à des rencontres formelles comme des co-working ou moins formelles.

Cet aspect de liberté est très plaisant avec la gestion personnelle de son activité, cette possibilité de faire ce que l’on veut au moment où l’on veut (pour grossir le trait bien-sûr !) 

👉 Le mot de la fin ^^

Yannick : Il faut vraiment toujours rester optimiste sur l’avenir, garder la tête froide. Je me posais beaucoup de questions avant cette aventure, même sur les premiers mois, mais cette pression s’évapore un peu au fur et à mesure du temps. Les compétences sont présentes et la récompense ultime est en permanence la satisfaction client.

Une question? Un projet? Les experts de La Collab vous accompagnent !