Interview Lucie Victor – Consultante Acquisition

Consultante acquisition

Portrait Lucie Victor
Crédit photo : Lucie Victor

👉   Bonjour Lucie, quel est ton mĂ©tier ?

Lucie : Je suis consultante acquisition. J’apporte une vision globale stratĂ©gique sur l’acquisition Ă  mes clients. Mon objectif est d’analyser et de dĂ©finir les actions Ă  mettre en place sur les diffĂ©rents canaux dont peut tirer partie une entreprise pour se dĂ©velopper en ligne : leur apporter plus de conversions et plus de revenus.

👉 D’après toi quel est le rĂ´le d’une consultante acquisition ? 

Lucie : De mettre en place une stratĂ©gie et des actions dans une approche roiste. Pour cela j’accompagne les clients dans la dĂ©finition de leurs objectifs et leur rĂ©alisation en me posant plusieurs questions : comment je vais acquĂ©rir de nouveaux clients ? Par quels moyens ? Sur quel canal ? Quel investissement ? Tout cela dans le but de rĂ©pondre Ă  leurs objectifs business en prouvant la rentabilitĂ© de chaque investissement sur chaque canal. 

J’exécute aussi l’opérationnel avec une appétence particulière pour tout ce qui est Social ads et le SEO (contenu & positionnement).

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Source : Unsplash – @KOBU Agency
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Source : Unsplash – @Avel Chuklanov

👉   Qu’est ce qui te plaĂ®t le plus dans ton mĂ©tier ? 

Lucie :  C’est un mĂ©tier qui Ă©volue tout le temps et il faut toujours ĂŞtre Ă  niveau sur les mises Ă  jour des plateformes publicitaires, les algorithmes… Ce n’est pas parce qu’un levier a dĂ©jĂ  utilisĂ© qu’il est apprivoisĂ©. Cela pousse Ă  ĂŞtre curieux et toujours en Ă©veil des Ă©volutions. Il y a toujours un rĂ©seau social qui sort sa propre plateforme publicitaire avec des diffĂ©rences dans l’utilisation des algorithmes (par exemple tiktok). Ça bouge tout le temps. J’aime le fait que rien ne soit acquis dans mon mĂ©tier. 

Ce que j’aime le plus c’est la partie e-commerce, c’est super challengeant, il faut comprendre rapidement ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas pour un client, ce qui lui gĂ©nère du revenu ou non, et savoir s’adapter en cours de route. Le fait de craquer une stratĂ©gie d’acquisition, comment et Ă  quel prix, c’est l’aspect le plus stimulant selon moi.

👉 Comment trouves-tu l’inspiration ? 

Lucie : Les podcasts. Beaucoup de podcasts social-ads, ecommerce… J’en ai mĂŞme dĂ©laissĂ© les newsletters. Ce format est simple et c’est vraiment devenu une habitude. J’écoute beaucoup “Le Panier”, des interviews de marques 100% digitales qui vendent en ligne.
Pour l’inspiration, je m’intĂ©resse Ă©galement Ă  tous les concurrents d’un nouveau client qu’importe le secteur. Je m’inspire de leurs techniques marketing sur les diffĂ©rents leviers, on apprend toujours quelque chose Ă  appliquer ou qui peut bĂ©nĂ©ficier Ă  un autre secteur. 

Je trouve beaucoup d’inspiration aussi en échangeant avec les autres consultants dans mon domaine, les échanges sur les retours d’expérience sont très bénéfiques.

👉   Quelle est ton expĂ©rience et ton anciennetĂ© en tant que freelance ?

Lucie : J’ai beaucoup fait de freelancing en Ă©tant salariĂ©e Ă  cĂ´tĂ©. Cela fait plus de 7 ans que je suis Ă  mon compte, avec un dĂ©veloppement accĂ©lĂ©rĂ© ces derniers temps, puisque je suis dĂ©sormais 100% Ă  mon compte. J’aime l’aspect d’être sur plusieurs clients, se creuser les mĂ©ninges Ă  ĂŞtre sur plusieurs problĂ©matiques en simultanĂ©. 

👉  Quelles ont Ă©tĂ© tes Ă©tudes pour en arriver ici ?

Lucie : Elles n’ont aucun lien. J’ai fait un M2 Marketing et Vente des vins et spiritueux. En France, ce secteur n’était (Ă  l’époque) pas assez digitalisĂ© pour moi. Après des expĂ©riences Ă  l’étranger dans le digital, je me suis rendu compte que c’est ce qui me plaisait le plus. J’ai eu des expĂ©riences dans des boĂ®tes e-commerce et en agence, et c’est cette dernière qui m’a dirigĂ© vers le consulting .

👉 Comment as-tu rencontrĂ© La Collab ? 

Lucie :  J’ai rejoint La Collab il y a quelques années, sous les conseils d’Olivia Péron, consultante en communication digitale, et meneur de projet à La Collab Toulouse. J’ai tout de suite aimé la démarche du collectif et son dynamisme. On m’a directement intégré à un projet en arrivant et je prends plaisir depuis à travailler avec chaque membre qui est très impliqué.

👉 Peux-tu nous dire comment s’est dĂ©roulĂ©e ta dernière mission avec La Collab ? 

Lucie :  J’ai rĂ©alisĂ© une stratĂ©gie d’acquisition pour une marque e-commerce pour le client VILLEM , client impliquĂ© et rĂ©actif avec qui le projet s’est bien dĂ©roulĂ©. Comme tous les projets de manière gĂ©nĂ©rale Ă  La Collab. C’est fluide, avec beaucoup de bienveillance dans la mise en place de ces derniers. 

👉 Est-ce que tu recommanderais le freelancing ?

Lucie :  S’il y a vraiment une envie d’indĂ©pendance, d’avoir le choix de ses clients : oui. Mais il y a beaucoup de prĂ©requis pour se lancer : savoir gĂ©rer ses clients seul, aller chercher et vendre Ă  des clients, c’est instinctif et ça fait partie de la personnalitĂ© ou ça doit s’apprendre. Ce n’est pas aussi facile que cela n’y paraĂ®t. Le passage par une agence ou dans une grande boĂ®te peut s’avĂ©rer formateur. Ou faire partie d’un collectif qui peut aider sur pleins d’aspects.

👉 Le mot de la fin ^^

Lucie :  Le collectif peut Ă©normĂ©ment aider dans sa rĂ©ussite, le fait d’être bien entourĂ© et de faire partie d’une structure. ĂŠtre “un” c’est bien, mais faire partie d’un tout permet d’aller plus loin. 


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